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alliancevie | 26 janvier 2011 |
700 gisants symbolisent la protestation contre l'euthanasie : immobiles, étendus sur le dos,
yeux ouverts, regards vides. L'euthanasie leur a volé leurs derniers jours.
Ces jours-là, personne n'en saura jamais le prix. Figurée par la faucheuse, la mort encagoulée,
vêtue de noir, peut longuement triompher. Danse macabre au dessus des corps, sur des
musiques d'outre-tombe.

 

 

 


 

 

Source :  catholique.org

 

Angélus : l’euthanasie est une fausse solution au drame de la souffrance

ROME, Dimanche 1er février 2009 (ZENIT.org) - Benoît XVI a dénoncé l’euthanasie comme « une fausse

solution au drame de la souffrance », lors de la prière de l’Angélus qu’il a récité le 1er février de la place

Saint-Pierre. A l’occasion de la Journée pour la vie, le pape a rappelé que c’est en mourant par amour

sur la croix que le Christ a donné « sens à notre souffrance ».

Citant le thème choisi par les évêques italiens, « la force de la vie dans la souffrance », pour le Message

de la Journée pour la Vie, le pape a affirmé que « l’euthanasie est une fausse solution au drame de la

souffrance, une solution qui n’est pas digne de l’homme ».

« En effet, la réponse véritable ne peut pas être de donner la mort, aussi ‘douce’ soit-elle, mais de

témoigner de l’amour qui aide à affronter la douleur et l’agonie de manière humaine », a poursuivi

le pape. « Nous en sommes certains : aucune larme, ni celle de celui qui souffre, ni celle de celui

qui lui est proche, n’est perdue devant Dieu ».

Lors de la prière de l’Angélus, le pape a expliqué que Jésus « souffre et meurt par amour sur la croix ».

C’est ainsi qu’Il « a donné sens à notre souffrance, un sens que beaucoup d’hommes et de femmes de

chaque époque ont compris et ont fait leur, expérimentant une sérénité profonde, même dans le chagrin

de dures épreuves physiques et morales ».

Le pape a enfin invité à confier à la Vierge Marie « les personnes qui souffrent et celles qui s’engagent

chaque jour à les soutenir, servant la vie dans toutes ses étapes : les parents, les responsables de la

santé, les prêtres, les religieux, les chercheurs, les volontaires, et tant d’autres ».


 

Message de la Famille Missionnaire de Notre-Dame
à l’occasion de la marche pour la Vie
du dimanche 23 janvier 2011 à Paris
La Famille Missionnaire de Notre-Dame et ses Foyers amis invitent tous ceux qui le peuvent à participer
à la prochaine Marche pour la Vie à Paris, le dimanche 23 janvier 2011

 

« Respecte, défends, aime et sers la vie, toute vie humaine !
C'est seulement sur cette voie que tu trouveras
la justice, le développement, la liberté véritable, la paix et le bonheur ! »
(Evangelium vitae, n. 5, texte cité par Benoît XVI le samedi 27 novembre 2010
lors de la veillée pour la vie à Rome).

 

La Famille Missionnaire de Notre-Dame et ses Foyers amis invitent tous ceux qui le peuvent à
participer à la prochaine Marche pour la Vie à Paris, le dimanche 23 janvier 2011. Pour permettre aux
« provinciaux » de pouvoir participer à la Messe dominicale, nous la célébrerons à 13 heures dans la
basilique Notre-Dame du Perpétuel Secours, à côté du cimetière du Père Lachaise. De là nous nous
rendrons, place de la République, pour le rassemblement qui précède la Marche pour la Vie à 14h30.
Les six convictions que nous avions formulées, l’année dernière, et les vidéos que vous
pouvez retrouver sur notre Site Internet (blog.fmnd.org), expriment bien l’esprit dans lequel nous
voulons vivre cette prochaine Marche pour la Vie.
En ces temps où nos parlementaires se préparent à voter de nouvelles lois concernant la
bioéthique, nous voulons réaffirmer avec l’Eglise notre conviction que l’embryon est une personne
humaine, qui doit être respectée, défendue, aimée et servie du premier moment de sa conception
jusqu’à son terme naturel. Le samedi 27 novembre dernier, Benoît XVI a présidé à Rome une veillée
pour la vie naissante et a demandé à tous les évêques du monde de prier avec lui pour le respect de
la vie humaine. Dans l’homélie de cette veillée, il a déclaré : « Nous pouvons affirmer, avec l'antique
auteur chrétien Tertullien : « Il est déjà un homme, celui qui le sera » (Apologétique, IX, 8). Il n'y a
aucune raison de ne pas le considérer comme une personne dès sa conception ».
Puisse cette prochaine marche pour la vie être une « marche prophétique » qui permette un
réveil des consciences, qui ont été gravement déformées par la Loi qui a légalisé l’avortement en
France. L’avortement, qui est condamné par le 5e commandement de Dieu : « Tu ne tueras pas » -
commandement, rappelons-le, qui vaut pour tous les hommes de tous les temps parce qu’il énonce
infailliblement la Loi naturelle et qu’il est l’un des fondements de la vie en société - est devenu pour
un grand nombre un « droit ». Dans l’Encyclique « Evangelium Vitae », Jean-Paul II avait été très
courageux pour affirmer avec autorité : « Tout semble se passer dans le plus ferme respect de la
légalité, au moins lorsque les lois qui permettent l'avortement ou l'euthanasie sont votées selon les
règles prétendument démocratiques. En réalité, nous ne sommes qu'en face d'une tragique
apparence de légalité et l'idéal démocratique, qui n'est tel que s'il reconnaît et protège la dignité de
toute personne humaine, est trahi dans ses fondements mêmes: « Comment peut-on parler encore de
la dignité de toute personne humaine lorsqu'on se permet de tuer les plus faibles et les plus innocentes?

Au nom de quelle justice pratique-t-on la plus injuste des discriminations entre les
personnes en déclarant que certaines d'entre elles sont dignes d'être défendues tandis qu'à d'autres
est déniée cette dignité ? ».
Quand on constate de telles manières de faire, s'amorcent déjà les processus qui conduisent à
la dissolution d'une convivialité humaine authentique et à la désagrégation de la réalité même de
l'Etat. Revendiquer le droit à l'avortement, à l'infanticide, à l'euthanasie, et le reconnaître légalement,
cela revient à attribuer à la liberté humaine un sens pervers et injuste, celui d'un pouvoir absolu sur
les autres et contre les autres. Mais c'est la mort de la vraie liberté: « En vérité, en vérité, je vous le
dis, quiconque commet le péché est esclave du péché » (Jn 8, 34).
Quand on recherche les racines les plus profondes du combat entre la « culture de vie » et la
«culture de mort », on ne peut s'arrêter à la conception pervertie de la liberté que l'on vient
d'évoquer. Il faut arriver au coeur du drame vécu par l'homme contemporain: l'éclipse du sens de Dieu
et du sens de l'homme, caractéristique du contexte social et culturel dominé par le sécularisme » (EV
20-21). Ces paroles prophétiques de Jean-Paul II n’ont rien perdu de leur actualité. Benoît XVI les
rappelle courageusement et donne le seul vrai remède à la grave crise morale actuelle : le retour de
Dieu dans le coeur de l’homme et l’obéissance de tous les hommes à la Loi naturelle.
Jean-Paul II avait appelé la France, la Fille aînée de l’Eglise : « l’éducatrice des peuples » en
juin 1980 au Bourget. Nous nous engageons pour cette Marche pour la Vie en tant que chrétiens et
citoyens français. Nous sommes angoissés devant le nouveau pas que notre pays est sur le point de
franchir : la légalisation de la recherche sur l’embryon sous certaines conditions. Cette acceptation
légale de la recherche contribuera encore à déformer davantage les consciences. L’embryon ne sera
plus considéré par un grand nombre comme une personne, un sujet, une fin, mais comme une chose,
un objet, un moyen. Cette nouvelle grave dérive morale sera une nouvelle régression au niveau de la
mission de la France, « éducatrice des peuples ».
Il serait très important de faire comprendre que si l’on a le droit de tuer légalement la
personne humaine la plus vulnérable : l’embryon, et si on a le droit de faire des recherches sur lui, on
contredit nos idéaux de liberté, d’égalité et de fraternité.
Une personne humaine, en effet, est une liberté qui doit être respectée dans tous ses droits
dont le premier droit absolu est le droit à la vie : c’est le premier idéal français : la liberté.
Toute personne humaine doit être traitée de la même manière que les autres : c’est le
deuxième idéal français : l’égalité.
Toute personne a droit d’être aimée et protégée : c’est le troisième idéal français : la fraternité.
Ces trois idéaux ne peuvent pas être vécus si disparaît de l’horizon de l’homme leur
fondement ultime : Dieu ! Jean-Paul II avait bien raison : le coeur du drame vécu par l'homme
contemporain est l'éclipse du sens de Dieu et du sens de l'homme.
Levons-nous ! Allons et marchons pour respecter et protéger la liberté de l’embryon humain
afin qu’il soit traité de la même manière que toutes les autres personnes humaines et qu’il soit aimé
et servi par tous, toujours et en toutes circonstances.

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